Dead Weather. De gauche à droite : Benjamin Galopin Jack Lawrence (The Raconteurs & The Greenhornes), Alison Mosshart (The Kills) , Jack White (doit-on encore le présenter ?), Dean Fertita (Queens Of The Stone Age).
Des têtes plus ou moins camées, et moi qui ramène mes petits pieds au HMV Forum après une après-midi fort sympathique à déambuler en ville pendant des heures, à regarder la nuit tomber.
J'étais seule, mais honnêtement, c'était le cadet de mes soucis. Bien placée, un livre à la main pour patienter. En première partie, un groupe que j'avais déjà vu et apprécié à Lyon, les Jim Jones Revue.
Puis les Dead Weather. La première fois que j'ai entendu parler d'eux, c'était cet été, dans ma campagne un peu perdue, en feuilletant au Champion du coin le dernier numéro des Inrocks. Une photo A4 dans les premières pages et moi qui me frotte les yeux en me disant que, non, les quatre ensemble, c'est juste pas possible.
Et si.
Et en live, c'est beaucoup, beaucoup, beaucoup mieux qu'en CD. Alison Mosshart était complètement high, ivre, ou je ne sais-je, mais elle a cette façon d'interpréter ses morceaux qui rend son comportement totalement sensé.
Sortie de la salle, je suis rentrée sous la pluie, prenant le train. J'étais euphorique et extenuée à la fois. En fait, j'avais l'impression d'avoir bu.
Vidéo prouvant que Jack White, c'est dieu un peu.
Vidéo prouvant que The Dead Weather, c'est bon pour la santé. Et sex.
Merci ♥
J'ai déjà négocié avec plusieurs personnes pour être la première à avoir les bébés d'Alison alors bats les pattes hein, elle est à moi ! ;)
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